oooooooooooooooooo
oooooooooooooooooo
barre de liens mercure
oooooooooooooooooo
oooooooooooooooooo
|
.Sans rire , je lis dans le
billet du service de gestion des déchets de notre
arrondissement .
<<Les
lampes néons et fluo-compactes sont les reines du
developpement durables>>
En fait elles sont les reines de la pollution sournoise....car il n'y a
pas un utilisateur sur cent qui sait ce qu'il risque le jour ou il en
brise une dans son appartement .
Pourtant il y a déjà eu des accidents chez les
fabriquants (comme osram)... et les faits ont
été
médiatisés .
Parmi ceux qui savent que ces ampoules contiennent du mercure , il n'y
a surement pas une personne sur 100 000 qui sait ce qu'il faut faire en
cas d'accident .
Les
lampes basses consommation (fluo-compacte ou lampes à
économie d'énergie) contiennent du mercure.
-20 à 30 mg pour un tube néon .
-1 à 25 mg pour une fluo-compacte .
Pourquoi n'y a t'il pas expliqué sur les emballages
que ces ampoules contiennent du mercure et doivent être
manipulées avec précautions ...pourquoi n'y a
t'il pas de
consigne de sécurité en cas de casse .
Pourquoi il n'y a pas marqué sur les emballages que ces
ampoules ne doivent pas être rejetées à
la poubelle classique ?
Pourquoi les supermarchés qui ont mis en place des
filières de récupération des piles ne
le font-ils pas également pour les ampoules basse
consommation ( selon la loi, les revendeurs doivent
récupérer un déchet dangereux en vue
de son élimination) ?
Aujourd'hui la plupart des utilisateurs jettent les ampoules
usagées à la poubelle des déchets
destinés
à l'enfouissement ou pire à
l'incinération .
De plus ces ampoules posent des problèmes de
rayonnements....mais cela est accessoire .
"Le fonctionnement des lampes basse consommation
génère
de puissants champs électromagnétiques,
susceptibles de
gravement perturber les biens et les personnes."
Le (riirem déconseille l'utilisation de ces ampoules en tant
que
lampes de chevet ou de bureau et demande aux fabricants de
remédier à cette électropollution...
Les scientifiques du (riirem et d’Arca Ibérica
(Espagne)
ont réalisé un banc d’essai sur les
ampoules
fluo-compactes, dites aussi lampe basse consommation (LBC),
aujourd’hui recommandées dans le cadre de la lutte
contre
le réchauffement de la planète et les
économies
d'énergie.
L'expérimentation, menée près de
Valence, en
Espagne, et réalisée en chambre
anéchoïque
avec différentes lampes, de marques et puissances
variées, montre que les ampoules LBC, dès
l’allumage, sont à l'origine d'importants
rayonnements
radioélectriques... Alors que les ampoules à
incandescence n’en émettent pas !
Contrairement aux ampoules classiques, les champs
détectés autour des LBC allumées
atteignent,
à 20 cm, entre 180 V/m et 4 V/m pour des puissances allant
de 20
à 11 Watts. Avec des puissances de 7 ou 5 Watts, les champs
électriques radiofréquences mesurées
vont de 34
à 2 V/m à moins de 20 centimètres. Il
faut
attendre 1 mètres pour retrouver une valeur de 0,2 V/m,
correspondant au bruit de fond
radiofréquences ambiant.
La technique des ballasts électroniques présente
dans le
culot des lampes basse consommation est la cause des rayonnements
radioélectriques émis par les ampoules. Ces
circuits
électroniques, caractéristiques de ampoules,
régulent la tension électrique entrant dans
l'ampoule
– ce qui optimise l'énergie consommée
et
accroît la durée de vie de l'ampoule. Les ballasts
sont
aussi chargés, pour éviter un effet de
scintillement,
d'augmenter la fréquence du courant traversant l'ampoule,
transformant ainsi les émissions basse fréquence
des
ampoules en des fréquences bien plus
élevées,
à l'origine des rayonnements radioélectriques
relevés.
Aucun blindage électromagnétique du culot
n’a
été constaté dans le culot des
ampoules
expertisées, or celui-ci permettrait d’abaisser
considérablement les valeurs des rayonnements
radioélectriques observés.
En raison des valeurs détectées
afférentes au
fonctionnement de ces ampoules LBC, les personnes qui utilisent ce type
d’ampoules, par exemple comme lampe de chevet, sur leur table
de
travail ou leur bureau, peuvent être exposées,
selon la
distance et la puissance à des champs électriques
allant
de 2 à 100 V/m, voire plus.
De plus, des risques importants de compatibilité
électromagnétique (CEM) sont à
craindre chez les
personnes appareillées d'implants ou de prothèse
médicales, actif ou non, car elles peuvent être
exposées lors de la mise en service des ampoules
à
économie d’énergie, de façon
instantanée, à des pics de champs
électriques de
l’ordre de 100 à 300 V/m.
Ces valeurs, en fonction des distances et des puissances
impliquées, sont supérieures aux limites
recommandées par le Conseil de l’Europe
(1999/519/CE),
visant à éviter au public tout effet thermique et
fixée à 28 V/m, et la directive relative
à la
compatibilité électromagnétique des
équipements électroniques et
électriques
(2004/108/CE), dont les niveaux sont de 3 V/m, voire de 10 V/m selon
les références.
Source (riirem)
Bientôt en france , les ampoules à incandescence
seront
interdites...et tout le monde semblent s'en réjouir....c'est
cela le développement durable.
|