En 1994 , alors que je suis au plus mal du point de vue santé , je prend conscience que certains maux sont associés à l'alimentation .
En effet , certains troubles disparaissent rapidement au cours des périodes de jeune , pour réapparaitre progressivement dès la reprise de l'alimentation.
Pour le sucre le lien a étè très facile à faire , puisque les réactions se produisaient dans les deux heures qui suivaient la consommation d'un ou deux morceau de sucre ....je prècise que je ne suis pas diabètique.
Pour bien comprendre , et admettre le rôle joué par le gluten et les produits laitiers , il me faudra plus de deux ans 
Ce n'est qu'après 1998 que je prendrai connaissance des travaux de Jean Seignalet , dont
les recommandations en matiére d'alimentation sont conformes à mes observations.

Cependant il est très important de dire que mes déductions sont notablement différentes .
Pour moi , le problème ne vient pas fondamentalement des aliments , mais bien plus de notre incapacité à les métaboliser normalement ....Jeanne Calment , comme beaucoup de plus que centenaires , ne suivait aucun régime particulier .
Il ne vient pas non plus de particularités génètiques , exception faite pour les gènes qui déterminent la production des apolipoproteine E , qui permettent une détoxication naturelle du mercure... et que l'on retrouve justement chez beaucoup de centenaires.
Mais il y a mieux . Après avoir considéré que le mercure était la cause de ces disfonctionnements métaboliques , et après avoir oeuvré pour une détoxification la plus complète possible du mercure , je peux aujourd'hui consommer ces aliments , sans réapparition d'aucuns symptômes .
Je précise tout de même que les produits classiques à base de laitage , ou contenant du gluten sont imprégnés de nombreux poisons.

En conclusion , le titre de <<Régime hypotoxique .>> ne convient pas du tout...mais comme c'est le nom sous lequel il a été vulgarisé gardons le , en mémoire de Jean Seignalet qui a eu le grand mérite de le faire connaître.

• 1. Exclure les laits d’origine animale
  (vache, chèvre, brebis) et leurs dérivés (beurre, fromage, crème, yogourt, crème glacée), ainsi que tous les produits contenant entre autres ingrédients de la poudre de lait.
  .
• 2. Exclure les céréales « modernes » : 
  Blé, maïs, seigle, orge, avoine, kamut et épeautre. Il s'agit de céréales contenant du gluten — à l’exception du maïs — seuls le riz, le sarrasin, le sésame et le quinoa sont acceptables.
  
• 3. Exclure les produits cuits à une température supérieure à 110 °C.  
  Consommer surtout les aliments crus ou, au besoin, de les cuire à une température inférieure à 110 °C afin de limiter la dénaturation des nutriments entraînée par la chaleur — dont les vitamines, les oméga-3 et la plupart des antioxydants. 
  Cuisson suggérés : à l'étouffée ou à la vapeur. Éviter surtout la cuisson au four à micro-ondes qui produit une agitation thermique extrême.
  
• 4. Exclure les huiles extraites à chaud ou cuites. 
  Remplacer le beurre, la margarine et les huiles raffinées par de l’huile d'olive vierge, de l’huile de colza, de l’huile de noix et de l’huile de noisette issues de l'agriculture biologique. Il conseille aussi de manger régulièrement des poissons des mers froides pour leur apport en acides gras oméga-3 (AEP et ADH).
  
• 5. Consommer des aliments biologiques.  
  Privilégier les aliments certifiés biologiques pour tirer avantage de leur qualité nutritionnelle et pour limiter les risques potentiels associés aux pesticides.
                  
• 6. Prendre un supplément de vitamines et de minéraux.
  Les besoins en nutriments d'un individu intoxiqué sont plus élevés que ceux d'un individu sain, et l'alimentation ne peut leur fournir. Les suppléments de vitamines, de sels minéraux et d’oligo-éléments sont parfois indispensable .