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L’autisme aux USA
Les dangers du mercure mis en évidence par
des études américaines
Antérieurement
à 1943, les cas étaient trop rares pour
réaliser que cette maladie existait mais, aux Etats-Unis,
les consultations pour des cas d’autisme sont devenues de
plus en plus courantes et, entre 1992 et 2002, l’autisme a
été multiplié par plus de 12 dans ce
pays. D’après le CDC [Centers for Disease Control
and Prevention], les cas d’autisme sont passés de
1 cas sur 10000 naissances au cours des années 1980
à 1 cas sur 166 naissances en 2003.
L’actuelle
« épidémie »
d’autisme se manifeste dans la plupart des pays du globe,
Inde, Argentine, Nicaragua et Chine, où l’on
recense actuellement 1.8 million d’autistes.
Ne
pouvant
nier les chiffres, outre de stupides théories
pseudo-scientifiques, on a soutenu qu’avant 1991 on ne tenait
pas une comptabilité précise des cas. Or,
même si on admet cet argument peu crédible, en
1998 on savait parfaitement bien diagnostiquer cette maladie et, entre
cette année là et 2003, les cas ont
augmenté de plus de 300%.
Actuellement,
six millions d’enfants américains ont
été diagnostiqués comme ayant de
sérieux désordres mentaux par les instances de
santé américaines.
« Si
cette épidémie est réellement un
artéfact de pauvres diagnostics, où sont
à présent les autistes de plus de vingt
ans ? », demande le Docteur Boyd Haley,
l’un des spécialistes mondiaux de
l’autisme.
Les
vaccins
L’idée
d’associer autisme et vaccins demeure encore impopulaire,
cependant cette idée gagne du terrain. En 1965, aux
Etats-Unis, quelques parents avaient déjà
constaté l’apparition de l’autisme chez
leur enfant après l’injection du triple vaccin
Diphtérie-Coqueluche-Tétanos. Lorsqu’un
autre triple vaccin, le ROR, fut introduit en 1980
« les rapports alarmants de parents
augmentèrent de façon très
significative » [cf. Los Angeles Time, 26 avril
2000].
En
1980,
autant aux Etats-Unis qu’en France, les enfants
n’étaient immunisés que contre 4
maladies alors qu’à présent, ils
reçoivent une quarantaine d’injections contre une
douzaine de maladies avant qu’ils aient atteint leur seconde
année.
Pierre
Picard
du journal "Votre Santé" rappelle que les trois vaccins
contre la rougeole, les oreillons et la rubéole sont
à virus vivants, atténués mais
vivants ! Rappelons que la Grande-Bretagne et
l’Allemagne ont interdit le ROR sur leur territoire, depuis
une dizaine d’années, après avoir
constaté environ trois cents cas de méningites.
La France a poursuivi sa politique vaccinale, en prétendant
qu’il n’y avait pas de problème, que le
vaccin était fiable. Discrètement, il y a trois
ou cinq ans, le ROR a été retiré du
marché, après avoir remplacé la partie
dangereuse (oreillons) par une nouvelle souche contre ces oreillons. Le
vaccin actuel s’appelle ROR VAX.
Toujours
Aux
Etats-Unis, Portia Iverson, fondatrice et présidente de la
CAN [Cure Autism Now Fondation] de Los Angeles, estime
qu’environ 50% des parents qui l’appellent
signalent que le comportement de leur enfant a changé tout
de suite après la vaccination. Ceci est confirmé
par le Docteur Bernard Rimland , directeur et fondateur de
l’institut de recherche de l’Autisme de San
Diego : « c’est une
véritable épidémie. Il est grotesque
de prétendre qu’il n’existe aucun lien
entre l’autisme et la vaccination, excepté des
coïncidences. La vérité est que des
enfants sont gravement atteints par les
vaccinations ».
Depuis
33
ans, le Docteur Rimland a étudié plus de 30000
cas d’autisme à travers le monde et a
découvert qu’avant les années 80, les
parents signalaient que l’autisme de leur enfant
s’était manifesté au cours de la
première année. Mais à partir de cette
époque, l’autisme est apparu vers le
dix-huitième mois. Rimland a aussi remarqué que
les enfants autistes viennent de familles aisées et
cultivées qui profitent au maximum des
découvertes de la médecine,
particulièrement des vaccins. Chez de nombreux enfants, deux
régressions successives ont été
remarquées. La première se produit
très vite après la première
vaccination ROR, la seconde, bien plus grave, après le
rappel du vaccin vers l’âge de 4 à 5
ans, après une période
d’amélioration relative. Ces deux phases de la
maladie ont servi de preuves de causalité devant les
tribunaux et l’institut de médecine aux Etats-Unis.
Les
ingrédients vaccinaux injectés aux
bébés contiennent de nombreuses toxines, et
jusqu’en 2002, ils contenaient aussi un conservateur
[appelé en France Thiomersal] dérivé
du mercure mais plus toxique encore. On en trouve encore dans certains
vaccins vendus aux Etats-Unis et dans l’Engerix B.
« L’évidence
que les vaccins sont étroitement liés
à l’augmentation de problèmes
cérébraux augmente chaque jour, mais les agences
gouvernementales ne font rien pour le
reconnaître »,
confirme
Dan
Burton, membre du Congrès, qui signale que 47% des parents
qui contactent leurs députés sont certains du
lien entre les deux événements.
http://www.autiminfo.com/PowerOfOne/Hearings.htm
Toujours
aux
Etats-Unis, le Docteur Dave Weldon a demandé
d’urgence à l’American Academy of
Pediatrics [AAP] d’enquêter sur l’
épidémie d’autisme et sur la question
ROR, car les recherches du Docteur Ulmann et de ses
collègues ont démontré que sur 91
enfants examinés, tous atteints par cet autisme
régressif qui s’était
développé très rapidement
après le vaccin, 75 d’entre eux,
âgés de 12 à 15 mois,
présentaient le virus de la rougeole dans leurs intestins.
Dan
Olsted,
journaliste d’investigation, a entrepris une étude
approfondie sur les cas d’autisme. En recherchant des enfants
qui n’ont jamais été exposés
au mercure vaccinal afin qu’ils servent de
« cas contrôle » des
expériences. Il étudia la Homefirst Health
Services Chicago. Les enfants de cette communauté ne sont
jamais vaccinés. Olmsted publia son enquête en
décembre 2005.
Le
Homefirst
Health Services est une association de médecins de la
banlieue de Chicago qui accouchent les femmes chez elles, puis suivent
les enfants. Le Docteur Mayer Eisenstein, directeur médical,
également diplômé en statistiques, en
droit et en santé publique, signale :
« depuis
des
années, nous avons suivi 30 à 35000 enfants
dès
leur naissance et nous n’avons pas rencontré un
seul cas
d’autisme parmi ceux qui n’ont jamais
reçu de
vaccins. Les quelques rares cas d’autisme ont
été
décelés chez des enfants vaccinés
avant que leurs
mères ne s’adressent à nous pour leur
enfant
suivant ».
Ces
enfants,
qui fréquentent les écoles publiques de
l’Illinois, ont permis de faire baisser spectaculairement les
moyennes d’auttistes de cet Etat. Le Docteur Paul Schattauer,
qui fait partie de Homefirst depuis 20 ans et traite au moins 100
enfants par semaine confirme : « Tout ce
que je sais est que dans ma pratique, je ne rencontre pas
d’autistes. Nous sommes loin de 1 sur 166 cas officiels dans
note pays ». En 1991, on ne trouvait qu’un
enfant autiste sur 2500 dans cette région.
Le
mercure
« Il
est impossible de trouver une seule étude qui montre
l’innocuité du thimerosal »
déclare le Docteur Boyd Haley, chef du service de chimie
à l’université du Kentucky, qui a
publié plus d’une centaine d’articles
sur la toxicité du mercure dans les plus prestigieux
journaux scientifiques. « Si vous injectez ce
produit animal, son cerveau est touché. Si vous
l’appliquez sur un tissu vivant, la cellule meurt. Si vous
l’introduisez dans une éprouvette, la culture est
détruite. Sachant cela, il est impossible de croire que
l’on peut l’injecter dans un corps de
bébé sans causer de dommage ».
Sur
le plan
clinique, les manifestations de l’autisme et de
l’intoxication mercurielle sont souvent
superposables : dégradation de la
qualité de la communication, indifférence pour
les autres, confusions mentales, peurs irrationnelles, manifestations
schizoïdes, désordres obsessionnels compulsifs,
trouble de la coordination des mouvements, ainsi que des troubles de
l’audition et de la compréhension
En
juillet
2000, après avoir analysé plus de 180
publications, un groupe d’étude
américain a publié les fruits de son travail de
synthèse sur les relations entre autisme et empoisonnement
par le mercure [cf. S.Bernard, et al.,
« Autism : a Novel Form of Mercury
Poisoning », in ABC Research, juillet 2000].
En
1998, la
FDA déclara que les enfants qui recevainet tous les vaccins
recommandés absorbaient 30 à 50 foisd plus de
mercure que la dose admise par l’Agence de protection de
l’environnement des Etats-Unis.
Mais
ce
n’est qu’en juillet 1999 que
l’académie américaine des
pédiatres publia une mise en carde contre les vaccins
contenant du thimerosal. La même année, la FDA
annonçait qu’un enfant qui recevait un vaccin
multiple pouvait être exposé à une dose
100 fois supérieure à celle admise pour un adulte.
Nombre
de
chercheurs pensent que les fabricants ont deux raisons de
s’opposer au retrait total du thimerosal. La
première est l’appât du gain. La
seconde, la plus importante, est qu’il savent que
dès qu’on le retirera le public ne pourra plus
ignorer le déclin non seulement de l’autisme mais
aussi celui des désordres neurologiques, déficit
d’attention, hyperactivité, retard de langage, qui
perturbent le système scolaire depuis plus de 15 ans. Ce
déclin s’est déjà produit en
Californie, qui fut l’un des premiers Etats à
bannir ce poison. Or cet Etat à le meilleur
système de surveillance de l’autisme des
Etats-Unis et il est généralement
considéré comme le baromètre du reste
du pays. Les experts n’avancent aucune explication pour ce
ralentissement des nouveaux cas.
Pour
Rick
Rollens, ex-secrétaire du sénat de Californie,
co-fondateur de FEAT [Families for Early Autism Treatment], le rapport
est flagrant entre le retrait du mercure et cette baisse.
« Nous pouvons dicuter pendant des heures pour
savoir d’où vient l’augmentation, mais
la diminution est manifeste depuis le retrait du
mercure ».
Le
Dr Samuel
Katz, de la Duke University, ardent promoteur de la politique vaccinale
dans son pays, conseiller de la Immunization Action Coalition, avoue
prudemment : "il y a de nombreuses données
qu’on ignore sur les vaccins", cependant il
n’hésite pas à imiter tous ses
collègues et à se retrancher derrière
le fait que "rien ne prouve la responsabilité des vaccins
dans tous les cas d’autisme, de diabète,
d’asthme, de sclérose et de mort subite du
nourrisson". Ces déclarations prennent un
éclairage nouveau lorsqu’on apprend que le Dr Katz
codirige un groupe "d’information" mais surtout de
propagande, appelé Vaccine Initiative, qui reçoit
des fonds de six fabricants de vaccins, et que la Immunization Action
Coalition est sponsorisée par plusieurs laboratoires tels
SmithKline Beecham, Merck, Connaugh-Pasteur Mérieux et
Wyeth-Lederle. il en va de même pour le Dr Neal Halsey, de
l’université John Hopkins, pionnier de la
vaccination qui siège, comme Katz, dans les
comités de l’ACIP et du Red Book, et qui affirme
lui aussi la sécurité du vaccin antiHB.
Une
étude de mai 2006, conduite par le Docteur Arthur Krigsman,
gastro-entérologue de l’Ecole de
Médecine de l’université de New York,
impliquant 275 enfants, a démontré de graves
inflammations intestinales chez les enfants autistes, identiques
à celles qui sont décrites par le Docteur
Wakefield et ses collègues il y a huit ans. La biopsie du
tissu des intestins de 82 de ces enfants a
révélé que 70 d’entre eux
(85%) avaient le virus de la rougeole dans leurs intestins. Tous les
résultats obtenus montrent qu’il s’agit
d’un virus vaccinal et non du virus sauvage de la rougeole.
Les
journaux
anglais ont largement médiatisé la nouvelle,
alors qu’elle a été pratiquement
occultée par les médias américains
mais aussi, français.
Quelques
adresses utiles non exhaustives :
•
Autisme info-accueil L’association Autisme France a mis en
place un numéro azur (prix appel local) qui constitue le
cœur d’un réseau destiné aux
parents d’autistes et aux professionnels de France, de
Belgique et de Suisse romande. Au 0 810 179 179, le standard Autisme
info-accueil répond tous les jours de la semaine, du lundi
au vendredi, de 9 h à 13 h.
•
Autisme 75, 78, rue des Dessous-des-Berges, 75013 Paris.
Tél.-Fax : 01 45 84 29 59.
•
Aide à l’enfance autiste, Kerantraon, 29400
Lanneufret. Tél : 02 98 20 81 31.
•
Pro Aid Autisme, 42, rue Bénard, 75014 Paris.
Tél. : 01 45 41 52 93.
•
Fédération française Sésame
Autisme, 53, rue Clisson, 75013 Paris. Tél. : 01 44
24 50 00. Fax : 01 53 61 25 63.
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